La bibliothèque paroissiale est ouverte et disponible spécialement pour les paroissiens. Afin d’emprunter des livres il est nécessaire de faire une virement de 50 € sur le compte de la paroisse BE09 0015 7476 1957. Ce virement est valable un an et permet d’emprunter les livres de la bibliothèque, cependant avec un maximum de deux livres à la fois. Le plus simple est de faire la demande (en mentionnant le titre du livre ainsi que son numéro interne) auprès du père Laurent (N°: 0495617499) via l’application Telegram par exemple.
Pour la gestion, le plus simple est de ramener les livres empruntés précédemment le samedi soir aux vêpres, au sinon aux agapes à l’étage après la Liturgie. Les livres commandés seront préparés et distribués le dimanche après la Liturgie. Pour les personnes externes à la paroisse il est possible de nous contacter et nous vous expliquerons comment procéder. Nous vous souhaitons une heureuse lecture bénéfique.
Attention: les livres de notre bibliothèque ne sont pas disponibles à la vente.
Anthropologie | Catéchèse | Dogmatique | Histoire | Icône – Chant | Monachisme
Œcuménisme | Patristique | Rapports | Saints – Ecriture Sainte | Spiritualité – Ascétisme | Vie Liturgique
Ta foi t’a sauvé
Ce que vise l'auteur, c'est une approche théologique du mystère de la maladie et de la mort, de la souffrance et de la guérison. Il tente, non sans succès, de montrer ce qu'est la guérison, trop souvent réduite à la seule guérison physique, alors qu'elle est d'une essence différente de l'acception habituelle.
Pour le montrer, l'auteur, qui est un théologien mystique, exerçant la médecine le plus concrètement du monde, aborde de façon originale, non seulement les pages nombreuses de la Bible qui sont consacrées à la guérison, mais aussi certaines situations, telles que les amours juvéniles, les problèmes actuels soulevés par le préservatif et la fivète. Il n'hésite pas à condamner les avortements de confort ou de convenance, l'expérience sur les embryons, le vol ou l'achat d'organes...
Sans être «un traité» sur la maladie et la mort, l'ouvrage aide à voir ces réalités, combien humaines, d'une autre manière, dans une autre optique, celle de l'infini et de l'éternité. Rarement un auteur avait renouvelé à ce point l'approche des problèmes existentiels posés par la guérison ; il nous introduit de façon aussi émouvante que convaincante à l'intelligence de la parole du Christ bien connue : «Ta foi t'a sauvé !» Dans sa préface, Olivier Clément relève avec éclat la pertinence et la nouveauté de cette étude.
Numéro interne: B-003
Plus d'info →La vie sacramentelle
La vie chrétienne ne peut exister sans sacrements, actes symboliques à la portée à la fois personnelle et communautaire, destinés à la sanctification des hommes. Jean-Claude Larchet aborde toutes les questions liées à la vie sacramentelle : modalités de dispensation du baptême, moment de la chrismation ; nature de l'eucharistie, fréquence et conditions de la communion ; nature et finalité du mariage, possibilité du divorce et conditions du remariage, problèmes posés par les mariages mixtes, manière de traiter pastoralement l'union libre ; confession et relations avec la communion ; onction des malades ; nature de l'ordination et exigences et responsabilités du ministère sacerdotal. Cet ouvrage répond aussi aux interrogations pastorales que les chrétiens se posent aujourd'hui : les sacrements ont-ils une fonction thérapeutique ? A quelle fréquence et comment faut-il se confesser ? Comment doit-on se préparer à la communion ? À qui s'adresse le sacrement de l'onction des malades ? Y a-t-il un mariage pour tous ? A quelles conditions le divorce est-il tolérable ? Quelles sanctions pour les clercs qui ont fauté ? Les sacrements agissent-ils par eux-mêmes ? Que doit faire le fidèle pour bénéficier concrètement de la grâce qu'ils dispensent ? A partir de l'Ecriture, des Pères et de la tradition canonique et liturgique, Jean-Claude Larchet livre ici un manuel de vie ecclésiale.
Numéro interne: L-024
Plus d'info →The Sacred Convent of Malevi
Numéro interne: A-016
Plus d'info →La voie du silence – Dans la tradition des Pères du désert
Désirant échapper, même pour un moment, au bruit du monde, de nombreux Occidentaux cherchent dans les sagesses orientales une pratique du silence qui leur permettra de se recentrer sur la vie de l'esprit. Beaucoup ignorent cependant que le christianisme, lui aussi, propose une telle discipline du silence et de la méditation ; plus encore, qu'elle est présente dès ses premiers temps, ceux des Pères du désert, et qu'elle est à la racine de toute sa théologie mystique.Michel LAROCHE, métropolite orthodoxe de France, nous invite à découvrir cette « voie du silence » et les moyens de la suivre aujourd'hui. Du « Connais-toi toi-même » au « Oublie-toi toi-même », il nous montre comment les pratiques antiques de la méditation chrétienne peuvent être adoptées par tout un chacun.
Numéro interne: L-029
Plus d'info →Théologie ascétique et mystique de l’Église orthodoxe
La théologie négative est une opération intellectuelle, la dernière qui, tout comme la prière, est mêlée au sentiment d'impuissance à saisir Dieu. Elle est liée à la contemplation de Dieu par la nature, l'histoire, la Sainte Écriture, par l'art, les dogmes et, en général, par tout ce qui se trouve à mi-chemin entre Dieu et nous, soit en tant que réalité extérieure, soit en tant que système de concepts et d'images symboliques. Étant donné que réalités, concepts ou images symboliques, d'une part, reflètent Dieu et, de l'autre, éveillent en nous l'évidence, ou le sentiment non explicite, que Dieu s'en distingue totalement, cette théologie incite à la négation de tous les attributs positifs que nous avons conférés à Dieu à partir d'eux. Les médiations nous ouvrant une perspective vers Dieu, elles nous placent en même temps face à l'abîme infini de la réalité divine que nous ne pouvons saisir par notre esprit et qui, en premier lieu, ne nous figure rien de ce que représentent les réalités créées, les concepts et les images symboliques. Mais, face à cet abîme, notre intelligence ne renonce pas encore à porter son regard sur les réalités, les concepts et les images symboliques. Elle promène son regard de ces réalités vers l'abîme, constatant qu'elles ne lui offrent pas les moyens de le caractériser. Cherchant pour ainsi dire à sonder l'abîme à l'aune des créatures de ce monde, c'est-à-dire par des propriétés, des images ou des concepts formés sur la base des êtres créés, l'intelligence constate qu'aucun de ces moyens n'est approprié. Elle les rejette alors tour à tour. La théologie négative est donc bien un exercice intellectuel qui examine le contenu des différentes données établies et des concepts au regard de l'abîme divin qu'il ressent en quelque sorte par la sensibilité, constatant qu'ils sont insuffisants.
Numéro interne: S-052
Plus d'info →La Vénération de la Mère de Dieu – 1 – La Mère de Dieu dans l’Église
Si en Jésus il n’y a qu’une Personne qui est Dieu, sa mère ne peut donc être que Mère de Dieu. C’est dire que le titre de Mère de Dieu est essentiellement destiné à affirmer la divinité du Seigneur Jésus, certes homme, devenu vrai homme, mais étant le Verbe d’avant tous les siècles, par qui tout a été fait, existant avant la création puisqu’il est Lui- même le Créateur. Donc affirmer que la Vierge Marie est la Mère de Dieu, c’est affirmer que le Seigneur Jésus est le Créateur du ciel et de la terre Lui-même. Les trois Églises — protestante, catholique et orthodoxe — sont d’accord là-dessus.
Ce texte est adapté d'une émission radiophonique du Père Cyrille Argenti, diffusée sur Radio-Dialogue, radio œcuménique marseillaise dont il fut l’un des fondateurs. (Copyright : Radio-Dialogue)
Numéro interne: KT-059
Plus d'info →Théologie de la maladie
Fondé sur une étude des sources scripturaires, patristiques, liturgiques et sacramentaires, cet ouvrage s'efforce de dégager les enseignements des Pères et de la tradition orthodoxe sur les maladies corporelles et leur thérapeutique. Une telle synthèse n'existait pas jusqu'à présent. Sans prétendre résoudre ce qui ressortit en définitive au mystère du mal et de la souffrance, la première partie apporte des éléments essentiels pour une réponse chrétienne à des questions que tout homme, face à la maladie, est inévitablement amené à se poser : les origines profondes de celle-ci, sa relation au mal et au péché, les raisons de sa subsistance malgré la guérison apportée à la nature humaine par le " Christ médecin ". La deuxième partie constitue un petit traité du bon usage de la maladie, soulignant le sens spirituel et la fonction positive qu'elle est susceptible de revêtir dans le cadre de la relation de l'homme à Dieu. La troisième partie présente, à partir des pratiques ecclésiales, les voies spécifiquement chrétiennes de guérison telles que les concevait l'Église ancienne et telles qu'elles sont conservées dans l'Église orthodoxe. Elle montre dans le même temps comment, depuis les origines, l'Église a reconnu et intégré la médecine profane tout en lui conférant une signification et des limites qui s'accordent avec les valeurs fondamentales du christianisme, manifestant avant tout le souci de traiter chaque homme comme une personne considérée dans l'intégralité de sa nature et de son destin spirituels.
Numéro interne: L-031
Plus d'info →La Vénération de la Mère de Dieu – 2 – Les fêtes de la Vierge
Ce qui est inauguré par la naissance de la Vierge Marie se continuera par la naissance du Fils de Dieu qui sera le fruit, le résultat, la perle précieuse qui va naître dans ce que l’hymne acathiste compare à une huître. Oui, la Vierge Marie est cette huître précieuse dans laquelle va naître la perle précieuse que sera le Fils de Dieu fait homme, la nouvelle création à laquelle, à notre tour, nous allons pouvoir participer par la foi et le baptême.
Ce texte est adapté d'une émission radiophonique du Père Cyrille Argenti, diffusée sur Radio-Dialogue, radio œcuménique marseillaise dont il fut l’un des fondateurs. (Copyright : Radio-Dialogue)
Numéro interne: KT-060
Plus d'info →Thérapeutique des maladies mentales – L’Expérience de L’Orient Chrétien des Premiers Siècles
Cet ouvrage, troisième volet d'un triptyque consacré par l'auteur à la conception de la maladie telle qu'elle ressort des textes patristiques et hagiographiques de l'Orient chrétien du Ier au XIVe siècle, apporte une contribution essentielle à l'histoire des maladies mentales et de leurs thérapeutiques dans un domaine qui n'a été jusqu'à présent que fort peu étudié.
Face aux nombreux problèmes que posent encore aujourd'hui la compréhension de ces maladies, leur traitement et la relation avec les malades, il fait apparaître l'intérêt qu'offrent la pensée et l'expérience chrétiennes anciennes pour la réflexion et la pratique actuelles.
Après avoir présenté la façon dont les Pères conçoivent le psychisme et ses relations avec le corps et l'esprit, l'auteur analyse en détail les différentes causes qu'ils attribuent aux maladies mentales et les diverses thérapeutiques qu'ils proposent.
Il montre en même temps comment, se référant aux valeurs chrétiennes fondamentales, ils manifestent à l'égard du malade une sollicitude et un respect constants et comment ils se soucient de l'intégrer à la vie communautaire et de le faire participer à sa propre guérison, préfigurant ainsi des aspirations et des besoins très actuels.
La dernière partie dégage la signification profonde de l'une des formes d'ascèse les plus étranges et les plus fascinantes qu'ait connues l'Orient chrétien : la « folie pour le Christ », folie simulée dans le but d'atteindre à un haut degré d'humilité, mais aussi de mieux venir en aide, par une expérience intime de leur état, à ceux qui figuraient souvent, autrefois comme aujourd'hui, parmi les plus démunis.
Numéro interne: L-014
Plus d'info →La Vérité en marche – Regard sur les Pères de l’Eglise
Numéro interne: A-017
Plus d'info →