La bibliothèque paroissiale est ouverte et disponible spécialement pour les paroissiens. Afin d’emprunter des livres il est nécessaire de faire une virement de 50 € sur le compte de la paroisse BE09 0015 7476 1957. Ce virement est valable un an et permet d’emprunter les livres de la bibliothèque, cependant avec un maximum de deux livres à la fois. Le plus simple est de faire la demande (en mentionnant le titre du livre ainsi que son numéro interne) auprès du père Laurent (N°: 0495617499) via l’application Telegram par exemple.
Pour la gestion, le plus simple est de ramener les livres empruntés précédemment le samedi soir aux vêpres, au sinon aux agapes à l’étage après la Liturgie. Les livres commandés seront préparés et distribués le dimanche après la Liturgie. Pour les personnes externes à la paroisse il est possible de nous contacter et nous vous expliquerons comment procéder. Nous vous souhaitons une heureuse lecture bénéfique.
Attention: les livres de notre bibliothèque ne sont pas disponibles à la vente.
Anthropologie | Catéchèse | Dogmatique | Histoire | Icône – Chant | Monachisme
Œcuménisme | Patristique | Rapports | Saints – Ecriture Sainte | Spiritualité – Ascétisme | Vie Liturgique
La Semaine Sainte – 1. Le déroulement de la Semaine Sainte
La tombe du Christ est le laboratoire de la nouvelle création. La Vie est entrée dans la tombe, le Créateur est entré dans les enfers et nous savons que de cette tombe va jaillir, le lendemain, la nouvelle création, le nouvel Adam, le nouvel homme. Voici donc la vieille création, le monde déchu, le vieil Adam, assumé par le Fils de Dieu mourant puis mort. Le péché a été cloué sur la Croix et le Sauveur du monde a fait mourir en sa propre chair le vieil Adam. Il visite alors ceux qui, du temps de Noé, ne s’étaient pas repentis et qui se trouvaient dans l’obscurité du shéol pour qu’eux aussi entendent la Bonne Nouvelle, « car Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité. »
Ce texte est adapté d'une émission radiophonique du Père Cyrille Argenti, diffusée sur Radio-Dialogue, radio œcuménique marseillaise dont il fut l’un des fondateurs. (Copyright : Radio-Dialogue)
Numéro interne: KT-021
Plus d'info →La Semaine Sainte – 2 – Le mystère de la Croix
La Croix est une bataille du démon contre l’homme, mais où l’homme est en fait la Personne du Fils de Dieu et où le démon est trompé. Il croit avoir en face de lui un homme dont il va triompher, il croit que par la Croix il a triomphé de Jésus alors qu’en fait il tombe sur Dieu et c’est lui qui est vaincu.
Ce texte est adapté d'une émission radiophonique du Père Cyrille Argenti, diffusée sur Radio-Dialogue, radio œcuménique marseillaise dont il fut l’un des fondateurs. (Copyright : Radio-Dialogue)
Numéro interne: KT-022
Plus d'info →Saint Serge et la spiritualité russe
Numéros internes: K-004, K-018, K-029, K-031
Plus d'info →La souffrance
Hier, sous prétexte de sauver le sens de la vie, on a rationalisé la souffrance, on l'a justifiée. Aujourd'hui, sous prétexte de ne pas cautionner ce qui fait souffrir, on récuse tout sens à l'existence. Entre le mensonge qui consiste à justifier la souffrance au nom de la sauvegarde du sens et le désespoir qui consiste à taxer la vie d'absurde par égard pour les victimes de la souffrance, n'y-a-t-il pas d'autre issue ?Le temps des rationalisations opérées par la bonne conscience est révolu. Comme est révolu le temps du désespoir et de la révolte. L'âge d'un troisième sens de la souffrance, au-delà du sens comme du non-sens, est venu. Il importe de rappeler que ce n'est pas la souffrance qui donne du sens à la vie, mais la vie qui donne du sens à la vie et éventuellement à la souffrance. Ce n'est pas parce qu'il y a de la souffrance que la vie n'a pas de sens, c'est parce que la souffrance existe que la vie doit avoir d'autant plus de sens.
Numéro interne: V-002
Plus d'info →Saints et saintes de Belgique au premier millénaire
Dans la Divine Liturgie de Saint Jean Chrysostome, nous disons avec le prêtre: Nous T'offrons encore ce culte raisonnable pour ceux qui ont trouvé le repos dans la Foi, Ancêtres, Prêtres, Patriarches, Prophètes, Apôtres, Prédicateurs, Evangélisateurs, Martyrs, Confesseurs, Ascètes, et pour toute âme juste décédée dans la Foi. »
Les Saints sont importants dans la vie de l’Eglise. Nous prions en union, non seulement avec nos frères présents avec nous dans l'église, non seulement avec les chrétiens de toute la terre, mas aussi avec les croyants des temps passés. La présence dans les églises d'icônes de saints (chez les orthodoxes) ou de statues (chez les catholiques),contrairement à la nudité des temples protestants, nous rappelle que le ciel n'est pas vide, que parvenir à la Maison du Père est chose possible, et que ceux qui sont arrivés au terme du parcours prient pour nous et avec nous.
C'est pourquoi, il m'a paru important de témoigner de ce millénaire illuminé par une multitude de saints. Des saints malheureusement fort peu connus: Saint Séraphin de Sarov ou Saint Ambroise d'Optina d'une part, Sant Antoine de Padoue ou Sainte Rita de l'autre sont des noms assurément plus familiers aux oreilles des fidèles de nos paroisses que ceux de Saint Materne ou Saint Bérégise. J'espère vous amener à mieux connaître ceux qui nous ont fait le cadeau le plus précieux que l'on puisse faire à un être humain: le cadeau de la Foi chrétienne. Comme l'écrit le père Géry Lemaire dans un ouvrage resté malheureusement inédit: » Il m'a semblé que l’Eglise orthodoxe en Belgique devait honorer la mémoire de ces saints personnages qui ont fait la Belgique chrétienne, au même titre, et même à un titre plus particulier, qu'elle honore les saints qui ont illustré les terres russes, grecques ou autres, où la confession orthodoxe est largement majoritaire. Nous leur devons notre appartenance à la chrétienté, et bien qu'ayant opté pour l'orthodoxie très minoritaire en Belgique, nous sommes, nous Belges orthodoxes, les héritiers de ces vénérables personnes qui ont amené nos ancêtres à l'Evangile du Christ ». Côté catholique, on constate, malheureusement, un affaiblissement de la connaissance des saints locaux, et à ce titre, nous avons pensé que ce travail pouvait être utile.
Numéro interne: H-007
Plus d'info →La spiritualité de Nil Sorskij : L’hésychasme russe
Numéro interne: M-010
Plus d'info →Saint Silouane
La vie de Saint Silouane nous emmène en voyage de la Russie du 19ème siècle à la Grèce du 20ème siècle. Après une jeunesse mouvementée, c'est au Mont Athos que ce moine orthodoxe s'est hissé aux sommets de la sainteté par une vie de prière intense. D'une grande humilité et d'une grande douceur, il intercède inlassablement auprès de Dieu pour le salut des hommes. Il est considéré comme un saint "sans frontières", il est fréquemment choisi comme Saint Patron dans différentes confessions chrétiennes.
Numéro interne: V-003
Plus d'info →La technique de la prière – Commentaires sur la prière dominicale
Numéros internes: K-007, K-008, K-009
Plus d'info →Saint Silouane de l’Athos
Le Starets Silouane, moine russe du Mont-Athos (1886-1938), apparaît aujourd'hui comme l'un des plus grands saints orthodoxes du XXe siècle. La première partie de cet ouvrage, après une introduction qui rappelle les grands traits de sa vie, de sa personnalité et de son œuvre, analyse les thèmes fondamentaux de ses écrits. Elle montre comment l'enseignement simple et direct de saint Silouane se situe dans la continuité vivante de la tradition ascétique et mystique de l'Église orthodoxe tout en s'exprimant sous une forme à la fois originale et universelle qui se révèle particulièrement apte à répondre aux inquiétudes, aux attentes et aux besoins de l'homme du XXe siècle. La seconde partie rassemble des textes de saint Silouane totalement inédits ou difficiles à trouver. Parmi eux figurent des lettres qui ont été écrites dans les dernières semaines de sa vie et qui nous transmettent son ultime témoignage.
Numéros internes: L-008, L-040
Plus d'info →La Théologie de l’icône
La théologie de l'icône ne se limite pas à des considérations sur la transfiguration de la beauté ou la sacralisation de l'art. Elle fait partie de l'édifice global de la tradition orthodoxe. Un concile œcuménique, peu connu et mal reçu en Occident, a énoncé une série de canons dogmatiques qui situent l'icône dans le droit fil de l'Incarnation et de la manifestation du Verbe de Dieu dans notre chair. Ces canons ont été repris et développés dans des conciles locaux lorsque l'iconographie tendait à perdre ses liens organiques avec la théologie et la célébration liturgique.Léonide Ouspensky, dans cet ouvrage, oriente vers une lecture approfondie du mystère de l'icône. Il le fait avec sa compétence de théologien et son talent d'iconographe.Beaucoup de textes - en particulier de la tradition orthodoxe russe - y sont minutieusement et attentivement présentés. Ce livre aidera à regarder les icônes avec un cœur intelligent et un œil clair.
Numéros internes: O-005, 0-006
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