La bibliothèque paroissiale est ouverte et disponible spécialement pour les paroissiens. Afin d’emprunter des livres il est nécessaire de faire une virement de 50 € sur le compte de la paroisse BE09 0015 7476 1957. Ce virement est valable un an et permet d’emprunter les livres de la bibliothèque, cependant avec un maximum de deux livres à la fois. Le plus simple est de faire la demande (en mentionnant le titre du livre ainsi que son numéro interne) auprès du père Laurent (N°: 0495617499) via l’application Telegram par exemple.
Pour la gestion, le plus simple est de ramener les livres empruntés précédemment le samedi soir aux vêpres, au sinon aux agapes à l’étage après la Liturgie. Les livres commandés seront préparés et distribués le dimanche après la Liturgie. Pour les personnes externes à la paroisse il est possible de nous contacter et nous vous expliquerons comment procéder. Nous vous souhaitons une heureuse lecture bénéfique.
Attention: les livres de notre bibliothèque ne sont pas disponibles à la vente.
Anthropologie | Catéchèse | Dogmatique | Histoire | Icône – Chant | Monachisme
Œcuménisme | Patristique | Rapports | Saints – Ecriture Sainte | Spiritualité – Ascétisme | Vie Liturgique
Prières sur le lac
Monseigneur Nicolas Vélimirovitch (1880-1956), qui fut évêque de Jitcha et d'Ohrid et a été récemment canonisé par l'Église serbe, a laissé une œuvre considérable, dont la qualité littéraire associée à la profondeur spirituelle lui a valu le surnom de " Chrysostome serbe ". Prières sur le lac figure parmi ses œuvres majeures. On tient ici non seulement un chef d'œuvre de la spiritualité chrétienne, mais un chef d'œuvre de la littérature universelle, dont le style rappelle et égale celui d'Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche et celui du Prophète de Khalil Gibran.
Numéro interne: V-017
Plus d'info →La création et la chute d’après la Genèse
La Bible nous affirme qu’à l’origine, avant le temps, il n’y avait rien et que le temps lui-même est créé par Dieu, ainsi que la science et bien évidemment l’homme. C’est vraiment une affirmation de foi qui est en dehors et au-delà du champ de la science. La science ne peut étudier que ce qui se déroule dans le temps et dans l’espace, mais Dieu est celui qui a créé le temps et l’espace, qui est avant le temps et après le temps et au-delà du temps. C’est la notion même de création. Si Dieu cesse de créer, tout s’arrête, tout retourne au néant.
Ce texte est adapté d'une émission radiophonique du Père Cyrille Argenti, diffusée sur Radio-Dialogue, radio œcuménique marseillaise dont il fut l’un des fondateurs. (Copyright : Radio-Dialogue)
Numéro interne: KT-035
Plus d'info →Propos d’un moine orthodoxe : Entretiens avec Jean-Claude Noyé
Qu'est-ce que l'orthodoxie ? Qu'est-ce qu'être moine dans la tradition orientale ? Jean-Claude Noyé interroge le père Placide Deseille, fondateur des monastères de Solan (Gard) et de Saint-Laurent-en-Royans (Drôme). Il aborde avec lui les grandes thématiques liées à cet univers spirituel. Parti du monde catholique et cistercien, son parcours vers l'orthodoxie est passionnant. Au total, c'est toute une page de l'histoire de l'Eglise du XXe siècle qui s'écrit ici, faite de recherches, de tâtonnements, de convergences et de divergences, de ruptures et de rapprochements. A sa manière, le père Deseille symbolise et synthétise dans sa personne l'Eglise indivise, à laquelle il se réfère constamment. Staretz des temps modernes qui a su regrouper autour de lui un cercle de fidèles séduits par la vie mystique de l'Eglise orthodoxe, il a beaucoup à nous dire sur la vie de l'Esprit. Et sur la possibilité toujours offerte aux hommes et femmes de ce temps d'y participer...
Numéro interne: D-022
Plus d'info →La divine liturgie de saint Jean Chrysostome: Commentaires à la lumière des Pères de l’Eglise
« Il est nécessaire de comprendre le miracle des Mystères ; ce qu’il est, pourquoi il a été donné, et quelle est son utilité »
Saint Jean Chrysostome
Les saints Évangélistes et les Pères théophores nous ont parlé du Christ comme ils Le vivaient lorsqu’Il était près d’eux-mêmes, comme ils Le vivaient dans la divine Liturgie. Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la parole de vie – et la vie a été manifestée, et nous l’avons vue et nous lui rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle (1 Jn 1, 1-2). C’est pourquoi, pour rédiger des commentaires de la divine Liturgie, l’auteur du livre s’est tourné vers ceux qui ont vu la vraie Lumière, qui ont entendu le Verbe et ont touché la tête immaculée du Maître, comme il est dit dans l’office de la Théophanie. Ainsi, ce livre est constitué des expériences eucharistiques des saints, et présente la divine Liturgie comme ceux-ci l’ont vécue et comme la vit aujourd’hui notre Église orthodoxe. Car même de nos jours, en ces temps difficiles, il y a des cœurs qui brûlent de Son amour (cf. Lc 24, 32) et qui font l’expérience de Sa présence près de l’Autel, ainsi que des âmes qui, durant la divine Liturgie, concélèbrent avec les anges et les saints, vivant dans le Royaume béni du Dieu Trinitaire.
Numéro interne: G-028
Plus d'info →Précis d’histoire de l’église maronite
Numéro interne: M-040
Plus d'info →La Divinisation de l’homme selon saint Maxime le Confesseur
Saint Maxime le Confesseur (580-662) apparaît aujourd'hui comme l'un des plus grands théologiens byzantins. Dans son œuvre, les acquis patristiques antérieures se trouvent rassemblés et intégrés en une synthèse puissante et géniale. La doctrine des deux volontés et des deux énergies du Christ, qu'il confessa jusque dans le martyre, fut officiellement adoptée par l'Église lors du VIe concile œcuménique (Constantinople III). Mais Maxime a aussi été qualifié de « docteur de la divinisation ». Ce thème, qui occupe une place centrale dans la spiritualité de l'Orient chrétien, trouve, en effet, dans l'œuvre du Confesseur l'une de ses expressions les plus fortes et les plus achevées et contribue pour une grande part à définir la nature et les relations de sa théologie, de sa cosmologie, de son anthropologie, de son acétique et de sa mystique. Cette étude approfondie et nourrie de nombreuses citations, la plus vaste qui ait été consacrée jusqu'à ce jour à cet auteur, nous ouvre donc l'accès à une compréhension de la pensée de Maxime dans son ensemble, en même temps qu'elle nous introduit au cœur de la christologie et de la mystique orthodoxes.
Numéro interne: L-019
Plus d'info →Présence de Dieu au coeur de la souffrance – Tome II
" Racontez comment vous êtes venus à la foi, les épreuves que vous avez traversées, les rencontres qui ont laissé l'empreinte de Dieu dans vos cœurs. " Voilà ce que le père Arsène, hiéromoine rescapé du goulag, demandait à ses enfants spirituels. Leurs confessions et mémoires intérieurs constituent ce deuxième volume de récits consacrés à l'une des figures de sainteté les plus mystérieuses de l'orthodoxie russe contemporaine. " Père Arsène " est un livre multiple. D'abord, un étonnant morceau d'histoire qui nous fait vivre au quotidien la clandestinité chaude et angoissante des communautés chrétiennes sous la terreur stalinienne, la cruauté sans nom de la déportation, les horreurs de la guerre contre l'Allemagne nazie. Ensuite, une fabuleuse galerie de portraits hauts en couleurs, où se côtoient femme adultère, officier de police au grand cœur et autre don Camillo relégué en Sibérie. Des personnages qui, au-delà des apparences et de tout jugement, nous révèlent les passions humaines les plus viles et les vertus évangéliques les plus nobles. Enfin, un bouleversant témoignage sur la puissance de la foi et de la prière : comment elles peuvent aider à supporter l'insupportable sans désespérer, transfigurer la réalité la plus dure et sordide en s'abandonnant à la Providence divine, manifester en toutes circonstances la présence protectrice de la Mère de Dieu. Touchant de simplicité et de profondeur, " Père Arsène " est un livre de feu et d'amour, qui ouvre le cœur, le dilate, l'illumine de joie et de réconfort. Nous vivons, souffrons, pleurons, sourions et nous réjouissons avec les personnages. Nous assistons, en direct, au jaillissement de la Lumière pascale au cœur des ténèbres de la mort. Et peu à peu, au fil des pages, l'évidence s'impose à nous : à Dieu tout est possible. Surtout l'impossible. Le corps desséché, couvert de plaies purulentes, transpercé de plus de trente éclats d'obus, le soldat Serge tourne la tête et admire la pureté fragile d'une marguerite qui, par la grâce, devient le signe de l'indestructible beauté et miséricorde divine...
Numéro interne: A-034
Plus d'info →La femme au temps de la Bible
La Bible passe pour un livre d'hommes. Ses héros les plus célèbres, d'Abraham à Saint Paul, sont des hommes, et Dieu lui-même est bien Dieu le Père. Pourtant, d'Eve à Marie, en passant par Sarah et Rebecca, Deborah, Judith et Esther, Anne et Elisabeth, nombreuses sont les femmes qui ont joué un rôle majeur au cours des quinze siècles que couvrent l'Ancien et le Nouveau Testament. Quel était le statut social, religieux et économique de ces femmes ? Comment la bible jugeait-elle la féminité? Eve est-elle responsable de tous les maux de l'humanité ? Moise aimait-il les femmes, et les femmes aimaient-elles Jésus ? Qu'est-ce que Saint Paul a vraiment dit sur elles ? La condition féminine dans le pays de la Bible était-elle meilleure que dans les civilisations avoisinantes, Egypte, Syrie, Babylonie, Assyrie ? C'est à toutes ces questions, essentielles pour comprendre la civilisation judéo-chrétienne et la place de la femme dans l'histoire du monde occidental, que ce livre répond. On trouve posées dans la Bible - et quelquefois résolues - quelques-unes des questions de bioéthique qui préoccupent si fort les femmes de notre temps : les mères porteuses, la stérilité, la contraception... Le livre de Josy Eisenberg - qui refuse les parti pris religieux de tous bords pour s'en tenir strictement aux sources bibliques et historiques - ouvre des horizons qu'on ne soupçonnait pas. S'agissant des femmes, la Bible n'est pas celle que l'on croit...
Numéro interne: E-013
Plus d'info →Prêtres et laïcs
Il est temps que les chrétiens en général, et les orthodoxes en particulier, prennent conscience de la nature sacrée, sacerdotale, de leur caractère de laïc, c’est-à-dire de l’empreinte du sceau du don du Saint Esprit que constitue leur chrismation, leur état sacré de laïc. Il ne s’agit pas, comme on a trop souvent voulu le faire, de désacraliser le clergé, mais de resacraliser les laïcs. Ce n’est qu’alors que nous pourrons entrevoir le mystère de l’Église, ce corps sacerdotal, ce corps du Christ, dont nous sommes véritablement les membres ou, du moins, dont nous devons et nous pouvons être les membres vivants.
Ce texte est adapté d'une émission radiophonique du Père Cyrille Argenti, diffusée sur Radio-Dialogue, radio œcuménique marseillaise dont il fut l’un des fondateurs. (Copyright : Radio-Dialogue)
Numéro interne: KT-024
Plus d'info →La Foi, ou la nostalgie de l’admirable
Peut-on encore avoir la foi aujourd'hui ? Les progrès de la science et de la raison ne l'ont-ils pas rendue inutile, voire ridicule ? Nombreux sont ceux qui disent, une pointe de regret dans la voix : « J'aimerais avoir la foi... » Et même ceux qui prétendent ne croire en rien sont encore dans la croyance - ils croient en l'absurdité de la vie, en un monde privé de sens. Pour ne pas sombrer dans ce nihilisme, il est nécessaire de réévaluer la place de l'acte de foi dans l'expérience humaine, au-delà des croyances de telle ou telle religion. Bertrand Vergely explore la possibilité et les promesses de cet amour qui dépasse notre finitude et donne un sens profond à notre vie : la foi, vient-il nous dire, est une nostalgie de l'admirable.
Numéro interne: V-014
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