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Lettres du Mont Athos

Lettres du Mont Athos

Nicolas Gogol et Fedor Dostoïevski ont admiré les qualités littéraires et la force de la foi qui se dégagent de cet ouvrage. A l'instar des Récits d'un pèlerin russe, les Lettres du mont Athos font partie des trésors de la littérature orthodoxe. A mi-chemin entre le récit de voyage et le roman épistolaire, composées au début du XIXe siècle par un moine pèlerin désireux de garder l'anonymat, elles relatent ses voyages, à pied, de monastère en monastère, d'ermitage en ermitage, au cœur de la Sainte Montagne, mystérieuse et austère. La péninsule grecque, qui demeure un endroit secret, l'était bien davantage à l'époque. A peine libérée d'un implacable joug ottoman, elle s'ouvrait alors timidement au monde chrétien . L'auteur y découvre une terra incognita appauvrie par des siècles de domination musulmane mais éclatante de grâce. Les lettres qu'il adresse à ses amis restés en Russie regorgent de cette découverte d'une chrétienté sublime dans son écrin de dénuement. Les souvenirs, les réflexions, les observations, les prières, les descriptions, les rencontres s'entremêlent pour composer, au fil des pages, un texte unique et attachant. Œuvre d'une grande authenticité, les Lettres du mont Athos sont une invitation au voyage, au pays de la foi.

Numéro interne: 68

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Lettres spirituelles

Lettres spirituelles

L'Ancien Joseph l'Hésychaste (1898-1959) est l'une des figures majeures de la spiritualité orthodoxe au XXe siècle.

Il fut, au Mont-Athos, le principal restaurateur du mode de vie hésychaste, en particulier de la «prière de Jésus». Ses disciples peu nombreux, mais remarquables ont, après sa mort, répandu, par leur activité et leur rayonnement, son enseignement et sa pratique dans tout le Mont-Athos, puis dans toute la Grèce, à Chypre jusqu'en Amérique du Nord.

Un ouvrage précédent a fait connaître aux lecteurs francophones sa vie et son enseignement. Le présent ouvrage, célèbre dans l'ensemble du monde orthodoxe et déjà traduit en de nombreuses langues, contient l'essentiel de son oeuvre écrite : quatre-vingt-une lettres, destinées à des moines et à des fidèles vivant dans le monde, et une longue lettre adressée à un ermite hésychaste, constituant un petit traité de vie spirituelle.

Vrai père spirituel, l'Ancien Joseph savait s'adresser à chacun en fonction de ses conditions de vie, de son propre état intérieur et de ses propres besoins. Dans ces Lettres qui traitent de tous les aspects de la vie spirituelle et contiennent une multitude de conseils pratiques, chaque lecteur pourra aussi trouver une nourriture adaptée à sa propre situation et proportionnée à son désir de progresser dans «la vie en Christ».

Numéro interne: H-006

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J’aime donc je suis – Le leg théologique de l’archimandrite Sophrony

J’aime donc je suis – Le leg théologique de l’archimandrite Sophrony

Ascète, moine et mystique chrétien du XXe siècle, l'archimandrite Sophrony (1896-1993) a laissé un enseignement qui révèle un grand théologien au cœur de l'histoire du christianisme. Son ouvrage " Starets Silouane, moine du Mont-Athos " et ses autres écrits font désormais partie intégrante de la tradition de l'Église. Déjà traduits dans plus de vingt langues, les livres du père Sophrony sont disponibles sur tous les continents. L'éventail de ses lecteurs va de personnes sans formation théologique aux professeurs d'université. À eux seuls, les éléments de sa biographie indiquent le caractère universel de sa personne. Né en Russie, il s'établit plus tard en Occident. Issu d'une famille bourgeoise, il commence sa carrière comme artiste. Il reçoit une éducation chrétienne, mais expérimente le mysticisme oriental. Au terme d'une immersion dans le creuset culturel de l'intelligentsia russe et après avoir goûté à l'éclat de la réussite artistique, il quitte le monde et vit comme simple moine dans un monastère, puis comme ermite dans une pauvreté extrême. Ordonné prêtre, il continue de servir des milliers de gens, s'ouvrant de cette façon à leur univers individuel. En lisant l'essai majeur que lui consacre le père Sakharov, on croisera les grandes figures que sont Nicolas Berdiaev, saint Silouane, Serge Boulgakov, Vladimir Lossky.

Numéro intenre: S-035

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Jalons – Lev Gillet

Jalons – Lev Gillet

Auteur: Jonas de Bobbio
Genre: Catéchèse

Numéro interne: B-018

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Lettres spirituelles

Lettres spirituelles

De ses trois cent quarante lettres qui ont été conservées et sont publiées ici, se dégage un enseignement spirituel fort, cohérent, profondément ancré dans la Tradition ascétique de l'Église orthodoxe mais qui sait cependant tenir compte des particularités et des difficultés de notre époque. Par le biais de la diversité de ceux à qui il s'adresse (prêtres, moines ou moniales, laïcs, hommes ou femmes, jeunes et vieux, personnes menant une vie pieuse ou en difficulté ... ), cet enseignement aborde une grande variété de sujets concrets relatifs à la vie spirituelle et peut contribuer à aider pratiquement tous les lecteurs dans leur propre cheminement.

Le thème central et récurrent de ces lettres est la pénitence, qui est avant tout, selon le Père Nikon, la conscience douloureuse permanente que l'homme doit prendre de son état d'éloignement de Dieu. C'est là, selon lui, le seul moyen de parvenir à l'humilité et de développer un amour authentique de Dieu et du prochain.

Mais bien d'autres thèmes parcourent ce livre qui révèle une conception de la vie chrétienne « selon l'esprit» et non « selon la lettre», sachant allier la modération dans l'ascèse bien comprise à l'exigence la plus rigoureuse dans la pratique des idéaux chrétiens.

Numéro interne: V-004

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Jean Cassien Entre l’Orient et l’Occident

Jean Cassien Entre l’Orient et l’Occident

Actes du colloque international organisé par le New Europe College en collaboration avec la Ludwig Boltzmann Gesellschaft (Bucarest, 27-28 septembre 2001)

Ce volume réunit les Actes du premier colloque international consacré à Jean Cassien, organisé à Bucarest par le New Europe College en collaboration avec la Ludwig Boltzmann Gesellschaft (27-28 septembre 2001). Les auteurs des textes sont des patrologues avertis de différents pays de l’Europe et des Etats-Uni.

Numéro interne: 51

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Lettres à des amis proches

Lettres à des amis proches

Le nom du père Sophrony (1896-1993) est surtout connu par le livre qu'il a consacré au starets Silouane, son père spirituel, décédé en 1938 et canonisé dans l'Église orthodoxe en 1988. Les lettres présentées ici sont la correspondance qu'il a entretenue avec le père Boris Stark auquel le liait une profonde amitié. Le père Stark et sa famille avaient traversé dans la douleur tous les soubresauts de l'histoire de la Russie à l'aube du XXe siècle. Après avoir perdu sa mère en 1925, le jeune Boris rejoignit son père en France. Il avait alors une quinzaine d'années. Ce n'est qu'en 1952 que, marié et père de famille, il retourna en Russie pour exercer son ministère, successivement à Kostroma, puis à la cathédrale de Kherson, et enfin à Rybinsk et Laroslavl. Son rayonnement fut considérable et dut certainement beaucoup à son lien avec le père Sophrony. " Jusqu'à la fin de ses jours, l'archimandrite Sophrony n'a pas cessé de nourrir spirituellement notre famille en correspondant régulièrement avec nous. " C'est le trésor de cette correspondance et de cette amitié que la famille du père Boris Stark a voulu partager.

Numéro interne: S-025

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Jean Chrysostome « saint Jean bouche d’or » (349-407). Christianisme et politique au IVème siècle

Jean Chrysostome « saint Jean bouche d’or » (349-407). Christianisme et politique au IVème siècle

Jean Chrysostome, moine puis prêtre à Antioche, est devenu évêque de Constantinople à la fin du IVe siècle. Entré en conflit avec les autorités impériales et une bonne partie de l'épiscopat de l'empire d'Orient, il est mort en exil. Trente ans plus tard, ses restes sont accueillis triomphalement dans la capitale. Il devient alors l'un des saints les plus vénérés de l'Eglise universelle. Ce livre retrace la carrière de Jean Chrysostome, sans masquer ses faiblesses : en théologie, ce n'est pas un penseur original, même si ses exposés sur des questions controversées sont remarquablement clairs ; son antijudaïsme a été une réalité à Antioche, même s'il a défendu les Juifs à Constantinople. A l'inverse, loin de l'image moralisatrice que l'on trace parfois de lui, Jean a su se mettre en phase avec les nouvelles exigences de son époque en matière de rapports entre Dieu et les hommes et il a prononcé des discours enthousiasmants qui lui ont valu, de la part des siècles ultérieurs, le surnom de " Bouche d'or ". Moins simple à évaluer est la manière dont Jean Chrysostome a affronté les questions politiques, à une époque où politique et religion étaient étroitement imbriquées. En fait, ce maître du sermon politique n'était pas lui-même un politique, comme le montre l'analyse des conflits entre Jean et la cour impériale, entre Jean et Théophile, le patriarche d'Alexandrie, entre Jean et les évêques réunis pour le déposer lors du synode du Chêne. Cette biographie, écrite avec empathie, est en même temps un livre d'histoire politique, sociale, religieuse et intellectuelle.

Numéro interne: B-027

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Lettres à une princesse Discours monastiques

Lettres à une princesse Discours monastiques

Qui connaît Théolepte de Philadelphie ? Quelques spécialistes d’histoire byzantine ou de spiritualité orthodoxe. Le personnage, déconcertant et fascinant, mérite pourtant d’être découvert.
Grégoire Palamas, le grand théologien orthodoxe du XIVe siècle, le reconnaît comme un de ses maîtres spirituels. Et pourtant les adversaires de la théologie palamite se réclament aussi de lui. Moine de la tradition hésychaste, évêque d’une cité d’Asie Mineure perdue en territoire turc, membre influent du synode de Constantinople, Théolepte est capable de subtilité diplomatique, ainsi quand il encourage l’empereur à appeler « frère » le sultan du Caire, mais aussi bien de ruptures fracassantes, avec l’empereur ou le patriarche de Constantinople, lorsqu’il juge la foi en danger.
En 1307, la jeune épouse de l’héritier du trône se retrouve veuve à seize ans. Désemparée, elle se tourne vers l’évêque de Philadelphie, l’ami de sa famille. Théolepte guide ses premiers pas dans la vie monastique et devient ainsi le père spirituel du monastère double du Sauveur Philanthrope, à Constantinople, que la petite princesse a bien du mal à diriger.
C’est le père spirituel qui fait l’objet de ce volume. Les lettres de Théolepte à la princesse devenue moniale ont été éditées en 1994 à Brookline (Massachussetts) par Angela Hero. Ses discours et homélies l’avaient été en 1990, à Toronto, par R. Sinkewicz. Ces deux éditeurs accompagnaient leurs éditions d’une traduction anglaise.
Les lecteurs de langue française n’avaient jusqu’à présent accès qu’à quelques extraits publiés dans la Philocalie. La présente traduction leur ouvre ces textes à la fois vivants, concrets et spirituels, témoins de la grande tradition de la prière du cœur.

Numéro interne: T-003

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Jean chrysostome et Augustin – Actes du colloque de Chantilly (22-24 septembre 1974)

Jean chrysostome et Augustin – Actes du colloque de Chantilly (22-24 septembre 1974)

Ce colloque de Chantilly a été soigneusement préparé tout au long de l'année 1973-1974 par un petit groupe de spécialistes de Jean Chrysostome et d'Augustin. Le postulat de départ a été le suivant : il ne s'agit pas de vérifier, une fois de plus et alternativement, que saint Augustin est le docteur de la grâce et saint Jean Chrysostome le champion de la liberté, mais il importe d'essayer de voir, en les confrontant, comment, grâce à eux, la révélation chrétienne a été communiquée aux hommes de leur temps aussi bien à Hippone qu'à Antioche et, d'une façon plus générale, en Occident et en Orient.
D'où le souci premier de considérer d'abord comment chacun des deux est enraciné dans une histoire, dans sa cité, dans son Eglise. L'Université de Lille III a fourni, en la personne de Claude Lepelley et d'Alain Natali, deux historiens qui ont mis le colloque sous le signe de la jeunesse. Puis il revint aux plus anciens, Anne-Marie Malingrey et André Mandouze, de parler au ministère sacerdotal et épiscopal que Jean et Augustin ont assumé.
L'importance du monachisme dans la vie de l'un et de l'autre a justifié les exposés du Père Luc Verheijen et de Jean-Marie Leroux. D'autre part la profonde imprégnation scripturaire qui caractérise les deux oeuvres a été étudiée à divers niveaux par Marie-Louise Guillaumin, Anne-Marie La Bonnardière et Anne-Marie Malingrey. Enfin l'enseignement que le Père Charles Kannengiesser a consacré au mystère pascal l'avait bien préparé à faire part de l'intérêt d'une confrontation patristique précise sur ce point.
Quant au Père Boris Bobrinskoy, c'est le thème essentiel de l'Esprit Saint qui fut le centre de son étude, d'une étude qui ne craignit pas, pour finir, de montrer comment la tradition qu'honore en particulier l'Eglise orientale trouve dans Chrysostome et Augustin deux solides garants de la foi de notre temps. Des discussions très fructueuses ont chaque fois suivi le double rapport concernant chacun des points abordés.
On trouvera à la fin du volume un écho authentique de ces discussions dans la mesure où Charles Piétri a donné du colloque une conclusion où le brillant d'une interprétation personnelle s'allie à la fidélité d'une écoute qui a l'avantage de rassembler en une synthèse originale les éléments épars des débats de ces trois journées.

Numéro interne: K-026

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